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Le disque interne est un composant crucial pour tout ordinateur portable ou de bureau, Synology NAS, ou console de jeu comme la PS4 ou Xbox One car il sert d’emplacement pour le stockage du système d’exploitation, des applications et des fichiers. Il est différent d’un disque externe, qui est attaché par Thunderbolt ou USB.
Il est vrai que le disque mécanique perd actuellement du terrain face au SSD, dont les prix se rapprochent régulièrement de ceux des disques durs et dont les capacités techniques sont plus avancées. Le disque dur a encore une longue vie devant lui, mais en raison de sa courte durée de vie, il doit être remplacé lorsque les signaux d’alerte apparaissent.
Vous devez d’abord être conscient de vos besoins en matière de performances et de stockage. Avec une capacité de stockage pouvant atteindre 18 To, vous disposez d’un large éventail d’options. Vous pouvez utiliser des fichiers volumineux pour les professionnels de l’industrie cinématographique ou de l’image, ainsi que pour un usage bureautique ordinaire.
Une alternative au disque dur mécanique classique est le SSD (Solid State Drive). Il est généralement au format 2,5 pouces, relié par le connecteur SATA III, et fonctionne à partir d’une mémoire flash en cellules. Le SSD est fréquemment utilisé pour installer un système d’exploitation en plus des documents présents sur son équivalent mécanique car il est plus rapide et plus économe en énergie qu’un disque dur mécanique.
Il convient d’installer un mélange de disque dur et de disque SSD ; le premier est destiné au stockage, le second à l’installation et à l’utilisation du système d’exploitation et des applications. Cependant, en raison de la petite taille de l’appareil et du nombre limité de connexions disponibles pour fixer un support de stockage, cette installation n’est pas envisageable pour les versions portables des ordinateurs de bureau.
Pour y remédier, il existe un modèle de disque hybride appelé SSHD. Une mémoire flash est placée aux côtés de plateaux de disques mécaniques au sein du même dispositif. Le SSHD permet de déployer les fichiers d’application sur la partie flash et le contenu sur le composant mécanique, respectivement. Ces technologies hybrides sont bien connues de sociétés comme Seagate.
Le périphérique cible – qu’il s’agisse d’un modèle de bureau, portable ou NAS – détermine le disque à utiliser. En termes de taille, le format 2,5 pouces est parfaitement adapté aux appareils portables. Alors que les variantes PC et NAS sont probablement équipées d’un disque de 3,5 pouces qui produit davantage de résultats.
La résistance aux chocs du support physique de sauvegarde que vous choisissez doit être prise en compte. Contrairement à un SSD, un disque dur est fragile et sa tête de lecture peut endommager les plateaux en cas de choc ; si les rayures sont trop nombreuses, les données seront perdues.
Cependant, si vous traitez bien votre disque dur classique, il peut durer très longtemps et n’est limité que par l’état de ses pièces mécaniques. En raison de l’architecture des SSD, ils ne peuvent effectuer qu’un nombre spécifique de cycles de lecture et d’écriture avant de devoir être remplacés.
Avec les dernières évolutions techniques, on trouvera sans doute sur le marché des SSD dont la durée de vie sera comparable à celle des disques durs mécaniques.
Lors du choix d’un disque pour NAS, il est préférable de s’orienter vers des modèles spécialisés comme le Red de Western Digital lorsqu’il s’agit de vidéosurveillance. Toutefois, les fabricants réputés pour leur fiabilité sont Toshiba et Seagate, qui proposent également des versions Barracuda et Ironwolf.
La norme industrielle actuelle pour les disques durs (HDD) et les disques SSD, l’interface SATA III, est utilisée dans une variété de dispositifs de sociétés comme Seagate (Solid State Drive). Que le produit soit placé à l’intérieur ou à l’extérieur, cette norme d’interface offre un indicateur de la vitesse d’écriture.
Un boîtier spécialisé doté d’un port USB peut être utilisé pour recycler le disque dur d’origine en dispositif externe ; ces boîtiers sont souvent bon marché, existent dans une grande variété de matériaux et conviennent à toutes les applications. Les performances d’écriture sont pratiquement comparables à celles d’une connexion SATA 3 en cas d’utilisation sédentaire ou de déplacement.
La technologie du disque dur mécanique est reconnue et établie, avec un fonctionnement très différent de celui du SSD interne. Le disque dur mécanique offre le meilleur rapport capacité/prix avec un prix par Go incroyable, mais son prix reste intriguant par rapport au SSD.
Le disque dur peut être utilisé en continu pendant de longues périodes, tout comme un NAS ou l’enregistrement d’une caméra de sécurité.
L’énorme espace de stockage est rendu possible par la grande capacité fournie, qui facilite l’enregistrement de grandes quantités de matériel ou de fichiers tels que des films, des photos et des montages audio. Le choix d’un appareil d’au moins 1 To est possible en raison du faible coût de l’appareil et de la croissance des données ou des programmes volumineux. En outre, la grande capacité facilite l’utilisation de Bootcamp pour créer différentes partitions tout en vivant avec Windows ou Linux.
Pour une sécurité accrue, il convient d’utiliser deux disques durs, l’un pour le système d’exploitation et les applications et l’autre pour le stockage des documents. Ainsi, en cas d’accident, seul le premier véhicule est impacté. Une sauvegarde correctement exécutée permet la restauration et la récupération du système.
Un disque dur mécanique est plus bruyant qu’un disque SSD interne car il utilise des plateaux magnétiques en rotation pour fonctionner. Et pour cause : pour les formats de 3,5 pouces en particulier, plus le dispositif est bruyant, plus le nombre de rotations par minute est élevé. En raison de cette configuration technologique, un disque dur consomme plus d’énergie que les cellules de mémoire flash présentes dans un SSD.
Le nombre de rotations par minute et la quantité de mémoire cache déterminent les performances d’un disque dur mécanique. La vitesse joue toujours un rôle dans la corruption des données, même si elle n’est pas aussi rapide que celle d’un SSD : plus la vitesse est élevée, plus le risque de corruption est grand. Les transmissions de données sont facilitées et accélérées.
En d’autres termes, le support est plus performant lorsqu’il y a une plus grande quantité. La norme actuelle est d’environ 64 Mo.
Pour un disque dur traditionnel, un câble SATA 3 ou SATA III d’une vitesse maximale de 150 Mb/s est utilisé pour se connecter à la carte mère. Afin d’empêcher la tête de lecture d’érafler la plaque magnétique, un détecteur de vibrations est également mis en place.
Il est utile de noter que les fabricants de disques durs font la promotion de leurs capacités. En raison d’un calcul différent, elle est en réalité plus petite, ce qui est parfaitement habituel.